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Vendredi 12 mai 2017 à Saint Avé (Affiche), conférence sur le Haut Potentiel Intellectuel, les troubles DYS, le TDAH et syndrome d’Asperger (Annonce journal le télégramme).

Vendredi 5 mai 2017 à 20h30, soirée d'information TDA/H (s'inscrire) au Mans.

Vendredi 28 avril 2017 au Mans, table ronde AFEP sur la précocité intellectuelle (inscription).

Vendredi 24 février 2017 à 20h30, soirée d'information TDA/H avec Hyper-Super, Le Mans.

Samedi 10 décembre 2016, groupe de parole ado (AFEP), maison des associations au Mans. Inscription à l'avance auprès de afep72@wanadoo.fr.

Vendredi 25 novembre 2016, réunion d'information sur le TDA/H au Mans, pour l'association TDA/H Hyper-Super (Affiche, lien site Hyper-Super).

Samedi 19 novembre 2016 à Vitré, communication sur les troubles des apprentissages chez les élèves à Haut Potentiel Intellectuel (affiche, programme, site de l'association).

Vendredi 7 octobre 2016 à Angers, communication "Les bilans neuropsychologiques dans le parcours du diagnostic des troubles du langage" association APEDYS 49, salle de la Morellerie à Angers (Affiche).

Vendredi 30 septembre 2016 conférence TDA/H et trouble des apprentissages à St Quentin (affiche, article de presse).

Vendredi 16 septembre 2016 au Mans soirée d'information sur le TDA/H (information et inscription).

Vendredi 27 mai 2016 soirée d'information TDA/H (Hyper-Super), Le Mans.

Vendredi 29 avril 2016. Le Mans (72), table ronde AFEP. Inscription obligatoire amv.afep@wanadoo.fr

Samedi 2 avril 2016 à Montigny Le Bretonneux (affiche) pour l’association des « Maîtres E » des Yvelines.

Vendredi 18 mars 2016 au Mans (affiche), Haut Potentiel Intellectuel et troubles des apprentissages.

Samedi 27 février 2016 à St Quentin (affiche).

Lundi 15 février 2016, Rectorat de Versailles (78). Formation sur le Haut Potentiel et les troubles associés (DYS, TDA/H) à destination des enseignants, psychologues scolaires, COP, infirmières et médecins scolaires de l'académie (Formation AFEP).

Vendredi 29 janvier 2016. Le Mans (72). Conférence AFEP sur les tests de QI. Inscription obligatoire amv.afep@wanadoo.fr

Vendredi 22 janvier 2016. Flers (61), Conférence sur le Haut Potentiel Intellectuel, le déficit d'attention et des fonctions exécutives, et les troubles DYS.

Samedi 16 janvier 2016. Groupe adolescents. Inscription obligatoire amv.afep@wanadoo.fr

Vendredi 8 janvier 2016. Questembert, Conférence sur le Haut Potentiel Intellectuel et le Trouble du Déficit de l’Attention en lien avec les apprentissages scolaires.

Samedi 12 décembre 2015 après-midi. Chartres (28). Conférence AFEP sur le Haut Potentiel Intellectuel, déficit d'attention et des fonctions exécutives.

Vendredi 11 décembre 2015, Le Mans (72) Café de la famille, soirée d'information TDA/H. Inscription obligatoire auprès d'Anne-Sophie Thuard (a.thuard@orange.fr).

Vendredi 16 octobre 2015, Le Mans (72), table ronde AFEP. Inscription obligatoire amv.afep@wanadoo.fr

Samedi 3 octobre 2015, Angers (49), conférence AFEP 49 sur le Haut Potentiel Intellectuel, les troubles associés, et le Trouble du Déficit de l’Attention. Inscription obligatoire amv.afep@wanadoo.fr

Vendredi 02 octobre 2015, Le Mans (72) Café de la famille, soirée d'information TDA/H. Inscription obligatoire auprès d'Anne-Sophie Thuard (a.thuard@orange.fr).

Jeudi 2 juillet 2015, Collège Camus, Le Mans (72). Formation sur le Haut Potentiel et les troubles associés (DYS, TDA/H) à destination des enseignants.

Jeudi 18 juin 2015, CHU de Nantes (44), Participation aux questions-réponses de la soirée d'information sur le TDA/H. Inscription obligatoire auprès d'Anne-Sophie Thuard (a.thuard@orange.fr).

Vendredi 29 mai 2015, Café de la famille, soirée d'information TDA/H. Inscription obligatoire auprès d'Anne-Sophie Thuard (a.thuard@orange.fr)

Vendredi 27 mars 2015, Le Mans (72), table ronde et groupe d'échange avec l'Association Française pour les Enfants Précoces (AFEP). Inscription obligatoire (ici).

Vendredi 6 mars 2015, Café de la famille, soirée d'information TDA/H. Inscription obligatoire auprès d'Anne-Sophie Thuard (a.thuard@orange.fr).

Lundi 2 mars 2015, Rectorat de Versailles (78). Formation sur le Haut Potentiel et les troubles associés (DYS, TDA/H) à destination des enseignants, psychologues scolaires, COP, infirmières et médecins scolaires de l'académie (Formation AFEP).

Vendredi 21 novembre 2014, Le Mans (72), conférence sur la précocité intellectuelle, et les troubles des apprentissages. Organisé par l'Association Française pour les Enfants Précoces (AFEP) et avec la participation de l'association TDAH Hyper-Super et de l'association DMF72. Inscription obligatoire (ici).

Samedi 18 octobre 2014,groupe d'échange spécial ados avec l'Association Française pour les Enfants Précoces (AFEP). Inscription obligatoire.

Vendredi 17 octobre 2014, table ronde et groupe d'échange avec l'Association Française pour les Enfants Précoces (AFEP). Inscription obligatoire (ici).

23/05/2014 COLLOQUE TDA/H Hôpital Henry Hey : Communication de l'évaluation neuropsychologique à la remédiation cognitive par COGMED (page 3).

Difficultés d'apprentissage : déficit d'attention/concentration, dyslexie, dyscalculie, dysgraphie etc. chez l'enfant, adolescent et adulte. 

Tough day at school! Sad child near the

Les troubles qui empêchent les apprentissages

Trouble du déficit de l'attention : il est la conséquence d'un dysfonctionnement dans le cerveau de la voie dopaminergique (dopamine, noradrénaline, adrénaline) et généralement de la fluidité membranaire, ainsi que d'une sous connectivité neuronale sur l'aire cérébrale qui gère l'attention et les fonctions exécutives. Cela se manifeste par des difficultés d'attention, de concentration, et d'organisation qui peuvent faire penser, à tort, à une immaturité. La cause est donc "cognitive", et non éducative ou liée à de la "mauvaise volonté" de l'enfant, adolescent ou adulte. 

Contrairement à ce qui est encore colporté par des praticiens non spécialisés, le trouble de l'attention ne signifie pas que l'on ne peut pas du tout se concentrer. Cela signifie que l'on n'arrive pas à se concentrer selon le type d'attention sollicité (vigilante/focale), et selon la motivation intrinsèque ou extrinsèque liée à la tâche à faire. En effet, la forme d'attention qui domine dans ce cas est l'attention vigilante (attentif à tous les stimuli de l'environnement), et la personne a donc beaucoup de difficultés à se focaliser sur une seule tâche, ou une seule information. Sauf quand elle a une forte motivation ou satisfaction à la tâche, car cela active alors sa dopamine, et donc son attention... D'où la confusion avec de la mauvaise volonté, des carences éducatives, ou encore un "il ne fait que quand il en a envie", ou pire encore quand on va chercher les causes dans le lien familial, ou chez Oedipe... 

Si on indique généralement en France que ce trouble touche entre 3 et 5% des enfants-adolescents, les USA parlent de presque 9% en 2011 et de 14,6% pour une étude menée dans l'Etat de l'Arkansas (lire ici). Au colloque de 2016 à Bruxelles, le Dr. Rhida Joober (Université McGill, Québec) indiquait que 8 à 12% des enfants québécois et 4% des adultes sont concernés par le TDA/H, soit entre une naissance sur 8 à une naissance sur 12. Quant aux enseignants, ils constatent que le nombre d'enfants avec des difficultés d'attention/concentration augmente nettement au cours des décennies, et ils en remarquent plusieurs par classe.

Trouble dyslexique : c'est un trouble qui touche le langage écrit. Selon les études, le type de patients sélectionnés et les critères de diagnostic plus ou moins approfondis, la prévalence est estimée entre 2 et 12% dans la population (Cf. INSERM). 

Trouble dyscalculique : trouble de la fonction numérique qui peut amener des difficultés de calcul, d'apprentissage des tables etc. 

Trouble dysgraphique : dès qu'un enfant "écrit bien s'il fait attention", on peut alors suspecter qu'il fait un effort important pour écrire correctement, que sa vitesse d'écriture est plus lente pour pouvoir bien écrire, ce qui fait une suspicion de trouble dysgraphique. En effet, dans un trouble dysgraphique "léger", on ralentit sa vitesse pour écrire mieux, ou bien on maintient la vitesse car il faut aller vite (dictée ou autre) mais la qualité graphique qui est dégradée. Or, l'écriture sans trouble correspond à une vitesse d'écriture dans la norme avec une qualité graphique dans la norme. 

Le Syndrome d'Asperger (trouble du spectre autistique) touche les interactions sociales, la gestion des émotions, la théorie de l'esprit, les routines, le langage pragmatique etc. Il n'est pas un trouble des apprentissages mais peut y être associé, tout comme il est fréquemment associé au Haut Potentiel Intellectuel et au TDA/H à un niveau plus ou moins élevé. 

Sur les Troubles "DYS", retrouvez ici le dossier de l'INSERM

Derrière des troubles "dys", il y a souvent trouble attentionnel non diagnostiqué car l'exploration s'arrête souvent au premier diagnostic posé qui est généralement celui de trouble du langage ou de l'écriture. Cependant, quelle que soit la classe de l'élève, de l'école primaire à l'université, pour écrire un énoncé de mathématiques (ou autre chose) en dictée, ou pour prendre des notes, il faut : 

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  • De l'attention auditive pour écouter l'enseignant dicter ;

  • De la mémoire à court terme pour se rappeler de l'énoncé pendant que l'élève convertit les phonèmes (mots entendus) en graphèmes (mots écrits) ;

  • Diviser son attention sur sa mémoire à long terme pour se rappeler de l'orthographe lexicale (comment s'écrivent les mots) pendant qu'il continue les tâches précédentes ;

  • Diviser son attention sur sa mémoire de travail et à long terme pour se rappeler des règles de conjugaison et grammaire pour faire tous les accords nécessaires (orthographe grammaticale) ;

  • De l'attention visuelle (donc un bon fonctionnement neurovisuel) pour bien se repérer sur les lignes du cahier ;

  • Une bonne motricité fine pour écrire à vitesse normale avec une qualité graphique normale pour les mots ;

  • Et il faut continuer à écouter l'enseignant qui continue de dicter ;

  • S'il reste encore assez d'attention disponible (réservoir attentionnel suffisant), il en faut alors pour comprendre ce qui vient d'être écrit, commencer à résoudre le problème, voire faire du calcul mental. 

  • A cela, s'ajoute le fait qu'il doit rester concentré, c'est-à-dire ne pas se laisser "dé-concentrer" par des distractions internes (ne pas penser à autre chose pendant qu'il écrit/écoute), ou externe (ne pas regarder ailleurs, ne pas écouter un camarade qui bavarde etc.), il lui faut aussi une attention soutenu (sur la durée) et non fluctuante (décroche/raccroche sans arrêt) etc. 

Or, bien souvent, un élève-étudiant-salarié qui a des difficultés d'apprentissage a une ou plusieurs de ces tâches qui lui est difficile, qui consomme donc toute son attention et il ne peut plus alors gérer l'orthographe lexicale et grammaticale en écrivant alors qu'il en connaît les règles, ou il ne comprend pas ce qu'il écrit/lit car il n'a pas assez d'attention pour écrire/lire et comprendre en même temps car l'une des tâches lui est anormalement difficile etc. 

Pour éviter un diagnostic borgne qui s'arrêterait au premier élément relevé (dyslexie, dysgraphie, trouble attentionnel etc.) et qui mènerait à des rééducations peu efficaces (des années de psy ou d'orthophonie sans progrès notables) car ne prenant en compte qu'une des difficultés, il faut mener une exploration de base :

  • Test de QI (WPPSI 4, WISC 5, WAIS 4) pour mesurer sa vitesse de traitement, le fonctionnement de sa mémoire à court terme et de travail, auditive et visuelle, ses modes de raisonnements en logique verbale, visuelle et spatiale. Ce test permet également d'observer sa capacité attentionnelle et de concentration. 

  • Test d'attention (NEPSY 2) pour mesurer son attention auditive en simple et double tâche, son attention visuelle en simple et double tâche, sa planification des tâches en autonomie et sur consignes orales, sa flexibilité cognitive. 

A noter qu'un éventuel Haut Potentiel Intellectuel ("surdoué", "précoce", "zèbre"), homogène ou hétérogène, ne "vaccine" absolument pas d'un ou plusieurs troubles associés. Et il faut faire les bilans en langage, logique, graphisme, neurovisuel/oculomoteur et, bien entendu, rééduquer l'ensemble et pas seulement le trouble en bout de chaîne (dyslexie, dysgraphie etc.). 

  • Questionnaires internationaux de prédiagnostic issus du DSM-5 pour le TDA/H (ci-dessous). Eviter le Conners car il évalue 6 troubles et le score obtenu est une moyenne de l'ensemble qui n'est généralement pas analysée dans le détail. Ainsi, un enfant peut avoir tous les items du trouble de l'attention et rien ailleurs, et donc ne pas coter dans la suspicion de TDA/H...

  • Test de QI pour mesurer la logique verbale, spatiale et visuelle, la mémoire auditive à court terme, la mémoire auditive de travail en simple et double tâche (auditive et visuelle au WISC 5, seulement auditive au WPPSI 4 et WAIS 4), lé mémoire visuelle (WISC 5), et la vitesse de traitement. Durant ces épreuves, on observe la flexibilité cognitive, la planification, l'inhibition et la résistance aux distractions internes, la distractibilité, le fonctionnement neurovisuel/oculomoteur, des compétences verbales etc mais sans pouvoir les mesurer. Cela permet d’écarter ou de valider un possible le retard de développement intellectuel, de relever des éléments permettant de suspecter un Trouble du Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité et de faire également des suspicions de troubles associés : troubles "dys", Trouble du Spectre Autistique (TSA) de type syndrome d'Asperger etc. et un éventuel Haut Potentiel Intellectuel associé. Pour rappel, le HPI est de la résolution de problème, et ne vaccine ni du TDA/H, ni du syndrome d'Asperger (difficulté relationnelles, sociales, intérêts restreints etc.). Voir ici la page consacrée aux tests de QI.

  • Test d'attention et des fonctions exécutives. Chez l'enfant à partir de 5 ans et jusqu'à 16 ans 11 mois, le NEPSY 2 « attention et fonctions exécutives » permet de mesurer l’attention auditive sur consigne simple et double consigne, l’attention visuelle en lecture simple, lecture avec inhibition et en double tâche avec inhibition, la flexibilité cognitive, la planification des tâches en autonomie et sur consignes orales. A cela il convient d'ajouter la série d’épreuves de « perception sociale » car il est fréquent qu’un enfant/adolescent TDA/H identifie mal ses propres affects et ceux des autres, et qu'il présente des difficultés en théorie de l’esprit. Cela permet d'explorer des signes cliniques d'un éventuel Trouble du Spectre Autistique (TSA) de type syndrome d'Asperger où la perception sociale est très fréquemment touchée et qui peut être associé à un TDA/H.

  • Bilan orthophonique complet (lecture, expression, compréhension) y compris en langage pragmatique (implicite, 2nd degré, métaphore). Cela dure environ 3h pour explorer de façon exhaustive les éventuelles difficultés de l'enfant, et cela peut aller jusqu'à 8-9h pour un enfant "multi-dys". 

  • Bilan graphomoteur si la vitesse de l'écriture est lente pour réussir à bien écrire, ou même si la qualité graphique est insuffisante malgré la lenteur, s'il y a des douleurs au poignet etc. pendant l'écriture. 

  • Bilan Logico-mathématique en cas de difficulté en calcul mental, raisonnement, apprentissage des tables etc.

  • Consultation avec un médecin pédiatre, neuropédiatre ou pédopsychiatre impérativement spécialisé sur ces troubles pour faire la synthèse des bilans effectués, faire son évaluation clinique du patient afin d'établir, le cas échéant, un diagnostic. Cette dernière étape est très importante car c'est seulement le médecin qui peut établir le diagnostic qui est médical en France, bien qu'il ne sache généralement faire passer aucun de tous ces tests, ni les coter et les analyser. 

Chacun de ces spécialistes peut ensuite proposer la rééducation ad hoc. 

Le questionnaire proposé ci-dessous est issu du DSM-5 pour le TDA/H et il a été développé et publié par une équipe de chercheurs sous le nom DIVA 2.0. Il est le questionnaire le plus détaillé et précis, nettement plus spécifique que le questionnaire de Conners qui mélange les questions avec d'autres troubles (opposition, anxieux etc.) ce qui masque souvent le TDAH au score moyen global, et peut faire passer à côté d'une suspicion. Il y a également le Baron-Cohen pour le syndrome d'Asperger adolescent. 

Pour le questionnaire  TDA/H, un item (TDAH1, TDAH2) est validé si un seul exemple de situation est sélectionné, et il faut 5 items de TDA/H 1 à TDA/H 9 validés pour faire une très forte suspicion de TDA/H. 

Autism awareness ribbon against bleached
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Les prises en charges peuvent être :

  • Pour l'attention et la concentration :

    • Traitement médicamenteux par méthylphénidate : Ritaline, Concerta, Quasym, Medikinet, ce sont des dérivés d'amphétamines qui "boostent" la dopamine présente dans le cerveau. A noter qu'en France, seule cette molécule est autorisée alors que d'autres médicaments qui ne sont pas à base de dérivé d'amphétamines sont autorisés dans d'autres pays d'Europe (documentation ici). En France, seul un médecin psychiatre ou pédiatre en libéral ou hôpital peut prescrire ce traitement, mais encore faut-il qu'il soit spécialisé sur le TDA/H pour avoir un accompagnement adapté

    • COGMED programme d'entraînement à faire sur ordinateur de chez soi qui développe la connectivité neuronale et améliore le fonctionnement de la dopamine (documentation ici). Certaines études indiquent une efficacité comparable au traitement médicamenteux par méthylphénidate, dont l'étude citée par le chercheur Stanislas Dehaene lors de son cours de 2014 au Collège de France à la Chaire de Psychologie Cognitive Expérimentale (accès au cours écrit - accès au cours vidéo) ;

    • Compléments alimentaires après un dosage des neurotransmetteurs (dopamine, noradrénaline, adrénaline et sérotonine plus la fluidité membranaire) par analyse d'urine (documentation ici), et un dosage de la iodurie car l'iode a un rôle essentiel pour la thyroïde mais aussi le fonctionnement de la voie dopaminergique (regarder la conférence du Dr. Domeinex (endocrinologue, directrice de recherche au CNRS) et lire un article). Ce dosage urinaire et les compléments alimentaires sont totalement en accès libre, sans ordonnance médicale car ce ne sont pas des médicaments, A noter que la sécurité sociale rembourse en grande partie le dosage des neurotransmetteur si un médecin fait une ordonnance, mais cela peut être fait sans ordonnance (donc sans remboursement). Un accompagnement par un praticien formé est néanmoins nécessaire. 

  • Pour un trouble du langage : rééducation orthophonique ;​

  • Pour un trouble dysgraphique : rééducation graphomotrice chez un grapothérapeute ; 

  • Pour un trouble neurovisuel/oculomoteur : rééducation neurovisuelle chez un orthoptiste spécialisé sur les troubles des apprentissages ;

Ne pas oublier qu'il n'y a généralement pas qu'un seul trouble mais une comorbidité, et que l'attention/concentration et la mémoire sont au coeur de toutes les tâches cognitives, intellectuelles, d'apprentissage, quel que soit l'âge (enfant, adolescent, adulte) et le domaine pratiqué (école, lycée, université, travail, loisir etc.). Il faut généralement agir sur les capacités attentionnelles pour que les autres troubles puissent être rééduqués de façon optimum. 

Pour vous documenter sur tous ces troubles, regardez les vidéos de la page Documentation de ce site qui réunit des conférences de différents spécialistes et chercheurs français et étrangers, ainsi que des témoignages.  

Sébastien VAUMORON peut faire les consultations de début de prise en charge, les tests de QI et d'attention, et il est formé à la lecture des dosages des neurotransmetteurs et iodurie plus les préconisations en compléments alimentaire. Il est également praticien COGMED. Il oriente systématiquement le patient vers un choix de médecins spécialisés pour l'établissement du diagnostic final après la passation des bilans (test de QI et test d'attention) et un éventuel traitement médicamenteux qui sera décidé par le médecin, et vers des professions paramédicales telles que orthophonistes, graphothérapeutes, orthoptistes en cas de suspicion de troubles associés. 

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